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    Eco-droit ESSEC 2020 – Analyse du sujet

    Lisa Schneider Par Lisa Schneider30 juin 2020Aucun commentaireLecture 6 mins
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    analyse éco-droit ESSEC 2021
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    L’épreuve d’éco droit ESSEC 2020 clôt la première journée du concours BCE pour les ECT. C’est une preuve décisive pour cette filière ! Le concours BCE 2020 se fait dans des conditions particulières : annulation des oraux, nouveaux centres d’examen… Mais les épreuves restent les mêmes que les années précédentes, car les sujets ont été conçus avant le confinement !

    Tu peux trouver ici une analyse du sujet d’éco-droit ESSEC 2020. 

     

    Une des épreuves les plus complexes pour la filière ECT est l’épreuve d’éco-droit de l’ESSEC, car elle demande une grande rapidité d’exécution et une grande précision des connaissances. L’épreuve 2020 était sans surprise composée d’une synthèse de textes et d’une question de réflexion argumentée pour la partie Economie, puis de trois cas pratiques et d’une question de veille juridique pour la partie Droit. Les deux matières comptent pour autant dans la note globale.

     

    Une synthèse d’économie assez classique et abordable

    La synthèse d’économie portait sur les effets de taux d’intérêts négatifs (les candidats étant invités à écrire une synthèse sur « la situation économique actuelle en présence de taux d’intérêts négatifs »). Un sujet qui était donc en lien étroit avec l’actualité et qui permettait aux bons candidats de bien comprendre les textes sans trop de difficultés.

    Les candidats devaient synthétiser 5 documents dont 2 graphiques qu’il ne fallait pas oublier d’utiliser afin de satisfaire les exigences du jury.

    Le premier document était une bonne introduction au sujet car il donnait le contexte des taux d’intérêts négatifs et en expliquait les causes. L’intérêt de ce document était donc double : il donnait des notions et des éléments historiques pour expliquer l’apparition de taux d’intérêts négatifs mais donnait également des explications théoriques sur l’existence de taux négatifs.

    Après les causes et les explications, le second document expliquait les conséquences de ces taux d’intérêts négatifs. Il analysait les perdants (comme les épargnants) et les gagnants (notamment les Etats) de ces taux d’intérêts négatifs puis il abordait quelques questions qu’on est en droit de se poser dans cette situation : comment les banques survivent sans être rémunérée sur les prêts qu’elles accordent et le lien entre taux d’intérêts négatifs et surendettement par exemple.

    Le troisième document relatait les rencontres économiques d’Aix-en-Provence et les questions en lien avec ces taux d’intérêts négatifs qui avaient été abordées. Il posait également la question de l’opportunité que cela représente pour les Etats mais surtout toutes les questions que les économistes peuvent se poser à leurs propos : combien de temps cela va-t-il durer ? Jusqu’où les taux peuvent descendre ? Enfin, le document abordait la question des inconvénients et des risques que cela peut générer pour l’économie.

    Le quatrième document était dans la continuité en abordant les risques à moyen et à long terme de ces taux négatifs. Le document aborde les taux négatifs comme « un paradis artificiel » car il permet un financement à faible coûts pour les Etats mais qui pourrait se transformer en « enfer bien réel » car cela peut mener à un surendettement public.

    Les quatrième et cinquième documents étaient des graphiques. Le premier mettait en avant le taux d’intérêt des obligations de l’Etat français à 10 ans et la dette publique de la France en pourcentage du PIB. Le deuxième mettait en relation le taux d’inflation et les principaux taux d’intérêts (prêts immobiliers, livret A, etc.)

    Ainsi, la synthèse d’économie mêlait actualité, théories et raisonnements macroéconomiques. La difficulté première était finalement de trouver un plan adapté afin de répondre au sujet demandé tout en restituant correctement les idées issues des textes et des graphiques.

     

    Une question de réflexion argumentée classique

    Le sujet de cette année 2020 demandait aux candidats de répondre à la question : « La politique monétaire est-elle actuellement efficace ? ».

    De manière assez classique, le sujet proposé permettait aux candidats de mobiliser leurs connaissances en traitant un sujet proche mais différent des documents.

    L’efficacité de la politique monétaire pouvait être abordée sous plusieurs angles. On pouvait ainsi dissocier l’efficacité pour les différents acteurs : l’Etat (qui va avoir des facilités pour s’endetter et financement sa politique publique), les entreprises (qui vont pouvoir investir également), les particuliers (qui seront désinciter à épargner), etc.

    Aussi, on pouvait dissocier les effets à court et à long terme et donc des effets, dans un second temps, de l’endettement massif que l’on peut voir à cause de la situation monétaire qui est menée. Que ce soit au niveau public, des entreprises ou des particuliers, la situation peut amener jusqu’à un surendettement et être dangereux à long terme.

    Toutefois, la difficulté à terminer l’épreuve étant bien connue des jurys, il n’est pas attendu des candidats d’être exhaustif et quelques idées bien développées permettaient aisément d’obtenir une bonne note.

    Des cas pratiques sans surprises

    Le sujet ne comportait que trois cas pratiques qui permettaient donc aux meilleurs candidats de gagner un peu de temps. Cependant, certaines questions étaient assez difficiles et demandaient des connaissances assez précises, notamment sur le contrat de travail.

    Le premier cas pratique demandait aux candidats de développer une argumentation sur les contrats de travail, et notamment sur les contrats à durée déterminée et sur les relations de travail « de fait » sans qu’il n’existe de contrat écrit entre l’employeur et l’employé.

    Le second cas pratiques interrogeait les candidats sur la force obligatoire d’un devis envoyé par un prestataire qui a décidé d’augmenter le prix de la prestation entre l’envoi du devis et l’envoi de la facture.

    Enfin, le troisième et dernier cas pratique proposait de porter une expertise sur la rupture brutale d’une relation commerciale entre deux entreprises à cause de la détérioration de la relation personnelle entre les deux dirigeants, alors qu’une des deux entreprises réalise une part importante de son chiffre d’affaires avec la seconde.

     

    Une veille juridique permettant de se démarquer assez facilement

    Comme chaque année, la veille était un moyen assez facile (mis à part la gestion du temps) de gagner des points et de faire la différence. Les étudiants qui l’avaient correctement préparé et qui avaient un nombre suffisant d’arguments pour soutenir leur propos avaient là l’occasion de gagner rapidement quelques précieux points et surtout de se démarquer des étudiants qui n’ont pas le temps de terminer l’épreuve.

    Les candidats devaient répondre à la question suivante : « Quelles sont les limites juridiques à la diffusion d’informations par les entreprises ? »

    Rien de très complexe pour un candidat ayant bien travaillé le thème de l’année. Il convenait alors de développer sur les limites qui s’imposent aux entreprises selon les informations qu’elle peut détenir sur ses partenaires et concurrents, ses salariés ou ses clients.

    Globalement et de manière assez classique, la principale difficulté de cette épreuve était donc de réaliser les 4 parties de l’épreuve sans négliger certaines parties dans un temps limité.

     

    Toutes les informations relatives au concours sont disponibles dans la rubrique Inside Concours.

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