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Quels critères retenir lorsqu’on s’inscrit aux concours d’école de commerce ? En prépa, et a fortiori à quelques mois des échéances fatidiques que sont les épreuves écrites, on passe beaucoup de temps la tête plongée dans les bouquins… et forcément beaucoup moins à lire les plaquettes des écoles.

Dès lors, à quoi se fier ? Les classements… mais lesquels ? Que traduisent-t-ils vraiment et sont-ils fiables ? Là encore, tirer quelque chose de ces hiérarchies établies par les médias nationaux (Le Figaro, L’Etudiant…) ou internationaux (le Financial Times) demande un examen minutieux et chronophage de chacun d’entre eux. Bref, le serpent se mord la queue…

Surtout, le choix de l’école que tu intègreras doit être éminemment personnel. Chaque école de commerce diffère des autres par son fonctionnement intrinsèque et les rapports qu’elle entretient avec ses pensionnaires. Ces différences se répercutent très concrètement sur l’expérience étudiante. Par exemple, pour ce qui est de la pédagogie, les cours sont-ils enseignés en e-learning ou en présentiel ? dans des amphis ou en par petit groupe ? Les associations sont-elles accessibles pour tous les étudiants et sont-elles soutenues par l’école ? Les échanges à l’étranger réunissent-elles des cohortes d’étudiants français ou seulement une poignée ? Ces questions et bien d’autres doivent d’ores et déjà te permettre de sélectionner ou d’écarter des écoles dans tes choix d’inscriptions selon tes préférences et tes priorités.

Par ailleurs, à ce stade de l’année où tu n’as probablement pas encore d’idée très précise quant à l’école qui conviendra le mieux à tes aspirations, il convient de se focaliser sur deux aspects : les dynamiques de chaque école et leur « ADN », ce qui fait leur différence par rapport aux autres.

Le mois dernier, nous sommes allés à la rencontre de la direction de BSB – Burgundy School of Business (ex ESC Dijon) pour comprendre comment cette école qui connaît justement une croissance très forte à tous les points de vue pourra conserver son modèle centré sur l’accompagnement de ses étudiants.

BSB est une école de plus en plus attractive

Les hommes mentent, pas les chiffres. Depuis 2013, BSB a gagné 4 places au classement SIGEM : une véritable prouesse quand on connait l’immobilisme de ce dernier. L’école bourguignonne a progressivement grignoté l’avance d’ICN BS et se trouve désormais au coude à coude avec l’EM Strasbourg, comme le montrent ces deux graphiques.

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Pourcentage de doubles-admis qui ont privilégié l’une ou l’autre école

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Ce gain d’attractivité s’est accompagné d’un véritable saut qualitatif pour l’école : depuis un peu plus d’un an, BSB détient la prestigieuse accréditations EQUIS. Pour l’étudiant cela n’a rien changé puisque ce label reconnaît la qualité de l’enseignement prodigué au sein de l’école ; il n’est qu’une reconnaissance de la qualité académique de BSB. Pour l’institution, cela représente en revanche de nouvelles opportunités de nouer des partenariats de classe mondiale. Ainsi en 2017, BSB a par exemple ouvert quatre nouveaux doubles-diplômes en Asie-Pacifique.

Dans un tout autre registre, l’école a investi lourdement pour assurer aux étudiants des conditions de travail exceptionnelles. Situé en plein centre-ville de Dijon, le campus historique de l’école vient tout juste d’être refait à neuf. Il a été repensé autour de l’expérience étudiante avec, notamment, un tout nouveau Learning Center imaginé comme un vrai espace de vie pour les étudiants, des espaces de co-working, des espaces collaboratifs, des salles de créativité… 450m² dédiés à la vie associative et 650m² à l’entrepreneuriat.

… Mais qui souhaite conserver son identité, caractérisé par l’accompagnement individualisé des étudiants

Mais si l’école est ambitieuse – elle ouvre d’ailleurs 30 places supplémentaires cette année -, pourra-t-elle conserver ce qui fait sa valeur ajoutée ? Oui répond Stéphan Bourcieu, le directeur de BSB. Pour absorber la croissance de l’école qui résulte de sa montée en gamme sans dénaturer ce qui fait sa différence, l’école a ouvert un campus à Lyon-Confluence. Une façon de rester à taille humaine et de ne pas surcharger les effectifs au sein d’un même espace.

Bien souvent, effectif pléthorique rime avec problèmes administratifs ou salles de classe surchargées. Fort de ce constat, BSB revendique au contraire une proximité préservée avec ses étudiants. Très concrètement, cela se traduit par des cours à 40 maximum, en salle de classe avec un professeur et non en amphi via visioconférence comme cela se fait de plus en plus. Ce nombre est réduit de moitié pour les cours de langues, afin de permettre aux étudiants de pratiquer réellement. L’école dijonnaise tient également son rôle de conseillère auprès des étudiants : un Career Center avec neuf coachs dédiés et l’équipe de relations internationales sont à disposition afin de les aiguiller au mieux dans les étapes décisives de leur cursus (choix d’un stage, d’une destination étrangère, amélioration de leur CV, etc.). Une manière pour l’école bourguignonne de connaître précisément les besoins de ses étudiants et de les accompagner efficacement tout au long de leur cursus.

Plus que jamais, BSB cherche donc à cultiver sa proximité avec ses étudiants, ce qui peut s’avérer rassurant voire salutaire après deux années en classe préparatoire, loin des réalités des écoles de management et du monde professionnel en général.

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