Ton réflexe quand on te parle d’ICN ? Aller regarder ce que le SIGEM en dit cette année. Tu constateras très vite qu’en 2021, l’école a fait un bond incroyable de 3 places dans ce classement réputé pourtant très figé ! Elle se place désormais dans le top 15 des grandes écoles de management les plus attractives pour les prépas.
Et cela s’est observé dès la phase des inscriptions. En 2021, alors que le nombre total des élèves en CPGE était en baisse, ICN a en effet réussi à attirer un plus grand nombre de candidats à l’intégration. Une dynamique ultra positive pour la business school qui, nous le soulignions en début d’année dans cet article d’analyse, a été la grande gagnante de ce cru avec +23 % d’inscrits. Fera-t-elle aussi fort en 2022 ? On le saura dans quelques semaines. Tu as encore jusqu’au 11 janvier pour ne pas rater le coche et faire partie de l’aventure ICN.
Mais sur quoi se fondent tes choix d’inscriptions exactement ? En partie sur l’image que tu peux avoir de chaque école. Pas forcément simple, alors que tu es évidemment concentré sur tes cours, de te pencher sérieusement sur ce sujet. On a demandé à deux étudiants actuels ce qu’ils pensaient d’ICN avant de valider leur inscription. On te livre ici les résultats de notre enquête pour comprendre l’origine du carton de cette école.
Des atouts qui se repèrent de loin
Aitiana, qui est aujourd’hui en 1ère année, vient de Nouvelle Calédonie. Pas simple pour elle, à cette distance, d’accéder à autant d’infos qu’il peut en circuler dans les prépas métropolitaines. Mais des échanges en visio avec d’anciens Calédoniens lui ont donné envie de présenter l’école. L’implantation parisienne de la business school a été le facteur qui l’a convaincue. ICN est en effet installée depuis 2018 en plein cœur de la Défense. Idéal pour profiter de la dynamique économique du quartier et de la proximité avec les entreprises et le réseau des diplômés en poste dans la capitale. By the way, l’école dispose aussi d’un campus à Berlin. Intéressant si tu es germanophone, mais, même sans cela, si tu veux être plongé au cœur d’une ville fleuron de l’économie européenne et emblématique de la culture allemande. Sans compter qu’elle est également très réputée pour l’intensité de sa vie étudiante.
Théo, de son côté, a passé sa vie à deux pas de l’école ! Ce nancéien d’origine a pu suivre son évolution, et en particulier son installation sur le campus Artem. « J’ai toujours eu une excellente image de l’école qui a une place à part dans le cœur de tous les habitants de Nancy. Mais au-delà de l’attachement que je pouvais avoir du fait de ma proximité géographique, je trouve super intéressante la voie que construit ICN. Avec sa longue histoire et son expertise de l’enseignement du management, elle a fait le choix de la pluridisciplinarité. Et c’est un atout majeur quand on arrive aujourd’hui sur le marché du travail. » Comme tous les étudiants d’ICN, Théo sortira en plus double diplômé, titulaire d’un Master in Management et d’un Master of Science dans la spécialisation choisie.
Retrouve aussi ICN dans le numéro 11 du magazine le Major entièrement consacré aux concours 2022 et à la réussite de tes écrits !
Une créaCtive way of working
« Pluridisciplinarité » : le mot est lâché ! Mais Théo nous a confié qu’il aimait aussi dans la vision du management de son école, les « rencontres » permises et le « choc des profils »… Ok, mais il se passe quoi à ICN, précisément ? Il se passe que sur le campus Artem qu’elle partage avec Mines Nancy, une école d’ingénieurs, et l’École nationale supérieure d’art et de design de Nancy, elle offre un environnement de travail idéal à ses étudiants pour se frotter à la réalité du monde de l’entreprise.
En gros, si on fast forward de quelques années, tu ne seras évidemment pas qu’entre diplômés d’écoles de commerce au sein de ton futur job. Plus tôt tu peux comprendre les mécaniques d’apprentissage des élèves ingénieurs et l’univers des élèves designers, plus tu seras efficace et pertinent comme manager aux côtés des futures équipes que tu vas piloter et dans la coordination des projets que tu vas porter. L’approche transversale #ArtTechnologyManagement ouvre ton esprit, enrichit la palette de tes compétences et élargit aussi ton réseau, ce qui est toujours bon à prendre !
Il y a de nombreux temps d’interactions qui sont balisés #ArtTechnologyManagement dans le programme Grande École. Les ateliers éponymes sont un exemple assez emblématique : durant un an, pendant toute ta 2e année, tu auras des rdv réguliers avec ton équipe pluridisciplinaire pour travailler sur une problématique choisie. On ajoute que le tout se passe dans un cadre de vie des plus sympathiques, au cœur de Nancy, où vivent plus de 50 000 étudiants. On ne te liste pas des atouts de la ville, (si tu ne le sais pas déjà, la place Stan vaut sérieusement le détour), mais tu en auras plus qu’un aperçu au moment des oraux…
Étudiants et projets soutenus
« C’est clairement mon passage des oraux à ICN qui m’a convaincue que c’était une école pour moi. J’ai ressenti énormément de solidarité. Il m’est resté une impression que tous les étudiants pouvaient compter les uns sur les autres et j’ai eu tout simplement envie de faire partie de cette famille. » Pour une étudiante qui a dû s’éloigner de 20 000 km de la sienne, on imagine que c’est quelque chose ! Sur le campus parisien d’ICN, Aitiana a pris les rênes du BDE et elle est quotidiennement en contact avec toutes les assos qui se développent sur place, mais également celles qui œuvrent à Nancy. Un vrai esprit de famille que Théo ressent aussi.
« Je fais partie de la promo ‘prépa Covid’ qui n’a pas pu réaliser de tour de France en 2020, mais même sans avoir bénéficié de l’accueil admissibles très réputé (ICN s’est classée 3e au concours Major-Prépa des meilleurs oraux 2021, n.d.l.r.), je trouve que l’école est chaleureuse, dans sa façon même de s’organiser. Les échanges avec les professeurs, avec les équipes d’ICN sont simples, directs, fluides. On nous laisse beaucoup d’espace de liberté pour nous exprimer, on croit en nous, en nos projets, on se sent écoutés et ça donne envie d’aller de l’avant. » La taille humaine des promotions y est très certainement aussi pour quelque chose. La business school a en effet intégré 270 prépas à la rentrée 2021. Pour le concours 2022, elle ouvre quelques places en plus (285 au total) pour répondre à la demande !
Durant sa première année d’études, c’est au poste de trésorier de Propul’son (association musicale, tu l’auras deviné au nom) que Théo a pu faire ce constat partagé par Aitiana. « ICN nous confie des responsabilités tôt dans nos parcours. Dans d’autres écoles, il faut parfois attendre la 2e année avant de rentrer dans les bureaux associatifs. Là, nous avons la possibilité de créer, d’innover, de tester nos idées tout en étant accompagnés, notamment par nos tuteurs qui sont des responsables de l’école. » Une prise de pouvoir par les étudiants que tu peux aussi voir clairement affichée dans la nouvelle campagne créaCtive d’ICN. On partage avec toi cette vidéo et on te laisse prendre le pouvoir sur tes inscriptions !
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