Luca Leonarduzzi a intégré Grenoble École de Management à la rentrée 2019. Aujourd’hui membre de l’association Millési’mets et admisseur de l’établissement dauphinois, il dévoile les coulisses et les atouts de son école. 

Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Luca, j’ai 21 ans et je suis passionné de musique et de montagne. J’ai passé le concours BCE en 2019, après avoir effectué deux ans de prépa ECS au lycée Saint-Just de Lyon et j’ai donc intégré GEM. Je viens de terminer ma première année à l’école, première année que j’ai suivi en double-diplôme. En parallèle de mes cours, j’ai donc réalisé une L3 d’histoire avec l’Université Grenoble-Alpes. L’école permet de poursuivre en double master, toujours avec l’université, et je suivrai donc ce parcours l’an prochain.  

Pourquoi avoir choisi GEM suite à tes concours ?

Tout d’abord, j’ai toujours trouvé que l’école avait une bonne réputation auprès des étudiants et des entreprises. Durant mon cursus scolaire, j’ai pu constater que l’établissement était reconnu dans le monde professionnel. À titre plus personnel, j’ai surtout choisi GEM, car elle propose des doubles-diplômes intéressants, mais aussi pour sa spécialité : la géopolitique. C’est une matière que j’ai découverte en prépa et qui m’a beaucoup intéressé et GEM propose des cursus et des cours en lien étroit avec celle-ci. En dehors des cours, l’école est à proximité des montagnes, ce qui est un vrai plus pour moi qui suis passionné.

Tu as intégré Millési’mets. Peux-tu nous en dire plus sur la vie asso de GEM et sur ton expérience au sein de Millési’mets ?

GEM propose 22 assos avec des thèmes très diversifiés. Ce qui fait leur force, c’est qu’elles sont très professionnalisantes. Elles sont bien structurées et proposent toutes des activités qui plaisent beaucoup aux étudiants et aux externes qui y participent. Concernant Millési’mets, qui est l’asso de gastronomie et d’œnologie de l’école, elle propose tout au long de l’année des activités en lien avec les arts de la table. J’ai beaucoup aimé l’ambiance de l’asso qui est très conviviale, en plus d’organiser des événements très ludiques. Personnellement, j’ai pu m’investir dans des projets, notamment autour de la bière, en lien avec des professionnels du métier. Ces projets ont réuni de nombreux étudiants. 

Peux-tu revenir sur ta première année au sein de GEM et notamment des temps forts de cette année ?

Le début d’année à GEM est très rythmé.  On commence avec un « Défi de la rentrée » qui permet aux étudiants de rencontrer leur groupe de TD et de découvrir l’école et son atmosphère. Ensuite, les événements associatifs se succèdent. On découvre très rapidement les assos de l’école et leur ambiance. Elles organisent des rencontres, des pots, des activités au sein et en dehors de l’école… Il est très facile de trouver une asso qui nous correspond. Le WEI est aussi un grand moment très marquant. Toute la promo se rencontre et profite d’un week-end très sympa. Au fil de l’année, on s’intègre de plus en plus dans nos assos respectives et on fait pas mal de rencontres. Finalement, l’année passe assez vite… 

Comment as-tu vécu cette année particulière ? Comment l’école est-elle parvenue à maintenir une certaine vie étudiante malgré le contexte particulier ?

L’école a été très réactive face à la situation sanitaire. Elle a renvoyé les étudiants chez eux avant que le gouvernement annonce les fermetures des universités et des écoles. Les cours en ligne se sont progressivement mis en place et il était facile de conserver un rythme d’étudiant et un contact avec notre classe et nos professeurs. En dehors des cours, ce sont les assos qui ont pris le relai pour maintenir une vie étudiante. Elles ont toutes mis en place des activités différentes et ont fait preuve d’autonomie. Nous avons réussi à rester en contact pendant le confinement. On espère quand même que la situation s’arrangera l’année prochaine !

Pourquoi avoir choisir d’être admisseur ? Comment GEM arrive-t-elle à faire vivre l’expérience admissible alors que les oraux sont annulés ?

Au début, j’ai postulé pour des postes de responsables, notamment dans la logistique et l’accueil des candidats. Je voulais pouvoir organiser au mieux la venue de ces derniers. Quand la situation sanitaire s’est aggravée, on m’a quand même proposé un poste et je l’ai accepté. J’avais déjà fait des missions d’ambassadeur et j’avais adoré aider les candidats à se renseigner. Quant à la situation cette année, nous essayons de faire le maximum pour que les étudiants découvrent l’école, comme s’ils étaient sur place. Nous tentons de créer du lien, notamment en organisant des lives sur des plateformes vidéo ou grâce à la mise en place de rendez-vous téléphoniques. C’est comme ça qu’on peut simuler au mieux un accueil satisfaisant pour les candidats. 

As-tu un dernier conseil pour tous les candidats qui s’apprêtent à choisir à leur école ?

Il est facile de se tromper en regardant constamment les classements. Le choix devrait plus se porter sur ce que l’école a à proposer, tant au niveau des parcours que des différentes possibilités de séjours académiques à l’étranger, des assos, mais aussi du cadre de vie qui entoure l’école. Généralement, c’est en interrogeant les étudiants de l’école et en s’y intéressant en détail qu’il est possible de savoir si elle nous plaira ou non. Le choix se fait bien plus naturellement si c’est le cas. 

Pour visiter le site admissibles de GEM, c’est par ici : https://admissibles-gem.fr/concours-bce/