La violence insoutenable des camps, “par-delà le dicible” d’après Primo Levi, s’apparente à une négation de l’humanité. Tout dans le récit de l’écrivain italien est violence : l’expérience des camps bien sûr, mais aussi le fait d’en sortir et de témoignage de l’horreur, quand la norme était précisément d’y mourir.