Élu en 2014, le premier ministre indien Narendra Modi a immédiatement misé sur le soft power pour améliorer le statut de l’Inde sur la scène internationale. La « plus grande démocratie du monde » (en terme de population) étant la mère patrie du yoga, discipline pratiquée par des centaines de milliers de personnes à travers le monde, le thème autour duquel cette stratégie d’influence allait graviter était tout trouvé. Le yoga est donc devenu le fer de lance du soft power indien.

La suite de l’article