Géopolitique

Bienvenue dans un nouveau cycle d’articles de géopolitique indispensables pour ta réussite aux concours qui arrivent très vite ! Je commence ici avec les notions, concepts, thématiques, expressions incontournables à savoir exploiter à l’écrit dans une copie, comme à l’oral pendant une colle, en prépa ECG. En espérant que ce nouveau format te plaira, bonne lecture !

N’hésite pas à consulter tous nos articles méthodologiques en géopolitique pour peaufiner ton travail à la veille des concours : comment faire une bonne introduction de dissertation, comment rédiger une belle étude de cas, ou encore comment réagir à un sujet difficile en géopolitique en prépa ECG

100 notions géopolitiques incontournables en prépa ECG

Les termes de la puissance en géopolitique

Puissance : « Unité politique capable d’imposer sa volonté aux autres » selon Raymond ARON dans Paix et guerres entre les nations ; « Capacité de faire, de faire faire, d’empêcher de faire et de refuser de faire » selon Serge SUR dans Relations internationales.

Superpuissance : selon William FOX, renvoie à l’affrontement entre les USA et l’URSS pendant la Guerre froide.

Hyperpuissance : selon Hubert VEDRINE, état dont la puissance est sans égale à l’échelle mondiale dans tous les domaines, d’abord évoquée par Zbigniew BRZEZINSKI par une hégémonie économique, technique, militaire et culturelle pour les Etats-Unis au sortir de la Guerre froide.

« Hard Power » : pouvoir de contraindre par la force

« Soft Power » défendu par Joseph NYE dans Bound to lead : the Changing Nature of American Power: pouvoir de persuader par la culture.

« Smart Power » défendu par Susan NOSSEL et Hillary CLINTON comme l’art de manier savamment le Hard et le Soft Power en 2004, intelligence de prendre en compte l’avis des autres acteurs.

« Croissance » : pour François PERROUX c’est l’« augmentation pendant une ou plusieurs périodes longues d’un indicateur de dimension : pour une nation, le produit global net en termes réels ».

« Développement » : pour Bernard BRET c’est l’« amélioration durable des conditions de vie d’une population ».

Selon la théorie réaliste, un Etat a 2 options : « bandwagoning » : instinct grégaire, se ranger aux côtés du plus fort pour la question des coûts en cas d’opposition à une puissance ou « soft balancing » (Stephen WALT) : tenter d’équilibrer l’ordre mondial (3ème voie, ennemi).

Ce qui témoigne d’un véritable « basculement du monde » pour Michel BEAUD.

Immanuel WALLERSTEIN parle d’un « système-monde » dans The Modern World System marqué par l’accumulation dans les économies du centre et l’extension des relations marchandes à la périphérie, ce système est caractérisé par des disparités persistantes d’où une distribution inégale du pouvoir politique, soutient ainsi le projet altermondialiste.

« Hégémonisme » selon Charles KINDLEBERGER dans La grande crise mondiale 1929-1939 : la stabilité du monde repose sur le pouvoir hégémonique des nations, mais il n’y a pas de véritable pays leader aujourd’hui.

« Post-hégémonisme » de Robert KEOHANE dans Après l’hégémonie : la stabilité du monde repose sur le socle des grandes institutions internationales, même si elles demeurent des « members driven » pilotées par les Etats les plus puissants du monde.

La mondialisation et ses enjeux

« Slowbalisation » pour Adjiedj BAKAS ou « moudialisation » : l’âge d’or de la mondialisation est révolu, aujourd’hui : baisse des profits des FTN depuis la crise de 2008, ralentissement du commerce international et des flux d’IDE et instabilité financière.

« Marchés émergents » selon Antoine VAN AGTMAEL : géant démographique et territorial doté de classes moyennes solvables et qui s’intègre de plus en plus aux échanges, mais dans lequel il subsiste d’importantes disparités socio-spatiales.

Firmes Transnationales définies par Wladimir ANDREFF dans Les Multinationales Globales en 1996. Il s’agit d’une entreprise Mondiale, Mondialisée et Mondialisatrice.

Théorie du « Vol d’oies sauvages » de Kaname AKAMATSU : industrialisation avec production à faible technicité, puis le pays devient exportateur, il abandonne ensuite ce produit pour une production haut de gamme et ainsi, un autre pays reprend l’ancienne production.

Crise : « La crise consiste dans le fait que l’ancien monde meurt et que le nouveau ne peut pas naître » dans Cahiers de prison d’Antonio GRAMSCI.

D’où le constat de Roger BRUNET sur les « antimondes » et les « antiroutes » ou « la partie du monde mal connue et qui tient à le rester, qui se présente à la fois comme le négatif du monde et son double indispensable » dans Les Mots de la Géographie.

« L’effet naturel du commerce est de porter à la paix » Montesquieu dans De l’esprit des lois, de plus il propose de séparer le pouvoir exécutif, du judiciaire et du législatif pour le « doux commerce ».

« Zone Franche » selon Jacques DELORS en France ou « Zone Economique Spéciale » selon Deng XIAOPING en Chine qui offrent des avantages fiscaux et douaniers.

« Hyper-lieux » : les nouvelles géographies de la mondialisation pour Michel LUSSAULT contre les « non-lieux » de Marc AUGE

« Capitalisme de copinage/de connivence » pour Minxin PEI ou « crony capitalism » : corruption structurelle et généralisée à cause du monopole étatique dans de nombreux secteurs de l’économie chinoise, cette structure est ainsi déséquilibrée et mine dangereusement l’avenir du pays, les actuels organismes sont vus comme des clubs de cadres du parti, milliardaires et célébrités.

« Kleptocratie » : système politique rongé par la corruption

« Capitalisme sauvage » ou « Runaway capitalism » selon Christopher MEYER : limites et outrances d’un capitalisme de plus en plus remis en question.

« Heartland » selon Halford MACKINDER : celui qui contrôle l’Eurasie contrôle la géopolitique mondiale

« Rimland » selon Nicholas SPYKMAN, à l’inverse, celui qui contrôle le pourtour russe domine le monde (le projet OBOR chinois…)

« Bomb P » pour Paul Ehrlich dans The Population Bomb : l’explosion démographique est le danger d’une famine mondiale.

« Silver economy » : atouts d’une population vieillissante : en moyenne plus riches que dans le passé : opportunité de développement économique avec notamment le tourisme, la culture, le commerce de détail (pharmacie), les services financiers et les services ménagers.

« Malthusianisme » défendu par Thomas Malthus : politique qui vise à réduire le taux de natalité dans un pays pour avoir davantage de ressources à se partager entre individus.

« Cornucopianisme » : croyance en des ressources illimitées

« Hydrodiplomatie » pour Fadi COMAIR : partage et équitable de l’eau entre pays riverains qui pousse à utiliser l’eau comme catalyseur de la paix : ex de l’Initiative des 3 mers en Europe.

« Brain Drain » : migration vers les pays développés des travailleurs qualifiés ou très qualifiés du Sud.

« Arm Drain » : émigration d’une main d’œuvre peu qualifiée : ex des Wetbacks qui traversent le Rio Grande à la nage pour rejoindre les USA.

« Reverse brain drain » : fuite des cerveaux inversée, d’un pays développé vers un pays moins développé.

Maritimisation : augmentation de la concentration des échanges par voie maritime.

« Global cities » ou Villes globales selon Saskia SASSEN : la ville est un centre de commandement qui décide, innove, anticipe, anime, influe dans 4 domaines clés : « accountancy » (comptabilité), « advertising » (publicité), « banking » (finance), « legal services » (services juridiques).

« Melting Pot » pour Israël ZANGWILL : brassage et assimilation des divers éléments démographiques, lors du peuplement des États-Unis notamment.

« Multiculturalisme » pour Charles TAYLOR : coexistence de plusieurs cultures dans un même pays.

Selon Pierre GEORGE, une ville est « un regroupement de populations agglomérées caractérisé par un effectif de population et par une forme d’organisation économique et sociale ».

Métropolisation : processus de concentration de populations, d’activités, de valeur dans des métropoles.

« Shrinking city » : phénomène de rétrécissement urbain qui touche les villes sur trois plans : démographique, par la perte de population ; économique, par la perte d’activités, de fonctions, de revenus et d’emplois ; et social, par le développement de la pauvreté urbaine, du chômage et de l’insécurité (Détroit, Pittsburg).

A l’inverse, certaines villes connaissent une croissance démographique et économique rapide et soudaine : les « villes champignon » comme Lagos au Nigéria.

Une histoire de terre…

Groupe de Cairns : contre-projet concurrentiel de la PAC visant la libéralisation du marché agricole mondial (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud…).

Sojatisation : dépendance de plus en plus étroite de la production agricole, du travail rural, de la structure agraire et des rentrées de devises, à une monoculture, celle du soja.

Food Power : utilisation de l’agriculture comme moyen de contrôle politique par lequel une nation ou un groupe de nations offre ou refuse des marchandises à une autre nation ou un autre groupe de nations afin de manipuler le comportement.

« Landgrabbing » vers La Guerre des terres (Thierry POUCH) : appropriation des terres, exemple des Philippines, Madagascar et Ethiopie.

« Watergrabbing » : appropriation de l’eau.

« Greenwashing » : semblant de pratiques écologiques à des fins marketing, responsabilité écologique trompeuse.

« Peak oil » : moment où la production pétrolière atteint son maximum.

« Swing producer » : producteur alternatif : fournisseur de produits de base avec grande capacité de production, capable d’influencer les prix en fonction de l’offre et de la demande et d’équilibrer les marchés : Arabie Saoudite et pétrole, Russie et engrais potasse, Afrique du Sud et diamants De Beers.

« Green bond » : fonds d’investissement dédié à l’économie verte.

« Smart city » : développement écoquartiers, domotique et cybersécurité dans les villes (Zee Town de Facebook à San Francisco pour ses employés, Googleplex, KAEC et Neom en Arabie Saoudite, Lavasa privée en Inde ou Songdo ultra-sécurisée en Corée du Sud, Masdar City à Abu Dhabi, Beersheva en Israël dans le désert du Néguev, investissements massifs en R&D et cybersécurité).

Archipel Mégalopolitain Mondial (AMM) : selon Olivier Dollfus expression décrivant le fonctionnement réticulaire des grandes agglomérations dans le cadre de la dernière phase de la mondialisation.

« Economie d’archipel » : pour Pierre VELTZ : la mondialisation dessine une nouvelle carte du monde où les grands pôles sont plus proches les uns des autres que de leurs propres arrière-pays, exemple de Osaka Kobe Tokyo Kyoto.

Muséification : processus de mise en valeur (d’un espace ou d’une pratique) par la conservation et le développement touristique.

« Effet tunnel » :  perte d’accessibilité relative pour les petits pôles lors de la construction d’une infrastructure à grande vitesse entre les grands pôles, exemple de la diagonale du vide française.

« Gentrification » : transformations de quartiers populaires dues à l’arrivée de catégories sociales plus favorisées, qui réhabilitent certains logements et importent des modes de vie et de consommation différents.

Villes jumelles : deux villes construites à proximité l’une de l’autre qui, en se développant, ont formé une même unité urbaine, exemple du Plan Pronaf et émergence des maquiladoras (Ciudad Juarez/El Paso, Tijuana/San Diego).

Matières premières : matières qui interviennent dans la production de produits intermédiaires ou finis (minéraux, énergétiques, végétaux, animaux).

Pétromonarchie : État monarchique du golfe Persique, dont l’économie repose sur la production de pétrole.

« Gazocratie » russe analysée par Jean-Sylvestre MONGRENIER dans Géopolitique de la Russie : anciennes républiques socialistes comme Ukraine ou Biélorussie n’ont ni le soutien de l’OTAN, ni de l’UE, donc arme russe en profite ! En 2014, le Kremlin ordonne la fermeture des pipelines passant par l’Ukraine ! De même en Géorgie années 90, augmentation prix du gaz ou sinon menace de couper l’approvisionnement en cas de refus…

« Ecologie » : pensée développée par Ernst HAECKEL années 1860 ! Rapports entre organisme et son environnement.

« Réchauffement climatique » annoncé par James HANSEN (changement climatique).

« Economie d’échelle » : privilégie des coûts de production moindres pour une quantité produite maximale, essor de la rentabilité, productivité : faire un maximum de bénéfices.

« Economie circulaire » : privilégie le recyclage et minimise les déchets

« Responsabilité Sociétale de l’Entreprise » : lois qui obligent les entreprises à mesurer leurs impacts environnementaux, à les rendre publics→ adopter des pratiques plus écolo et améliorer empreinte écologique (ex de Bonduelle en France).

« Pays poubelle » : pays prêt à accueillir des activités très polluantes sans contrôle sérieux pour fournir des emplois (déconstruction navires au Pakistan, déchets toxiques en Sierra Leone, déchets électroniques en Albanie avec pouvoir des FTN).

« Microcrédit » défendu par le bangladais, Prix Nobel de la Paix Muhammad YUNUS, « banquier des pauvres » dans les pays en développement, entreprenariat social avec la Grameen Danone Foods : fournir produits laitiers de 1ere nécessité à des prix accessibles.

Le « 7ème continent » selon Charles J.MOORE, vortex de déchets du Pacifique Nord : Great Pacific Garbage Patch (GPGP).

« Gaïapolitique » pour Bruno LATOUR : les dérèglements climatiques et environnementaux sont d’ores et déjà source de tensions susceptibles de se transformer en conflits de grande ampleur : entrée en force de l’écologie dans les rapports de force internationaux !

Havre de pollution : zone géographique où les conditions politiques et règlementaires sont réunies pour permettre à une nation industrialisée d’y délocaliser bureaux et usines et de bénéficier de conditions environnementales moins exigeantes que sur son propre territoire.

Bourse de carbone : marché de droits à polluer : dans l’UE depuis Kyoto : chaque FTN dispose d’un permis de pollution (gaz à effet de serre) : si pas trop de pollution, cette entreprise vend ses titres à une autre FTN : payer pour pouvoir polluer plus : Clean Air Act aux USA ou European Union Trading Scheme en UE.

Earth Overshoot Day : moment à partir duquel l’humanité compte tenu de son empreinte écologique, consomme plus que ce que peut lui offrir la nature et vit donc à crédit : consommation d’énergie : la France plus énergivore que le continent africain, les USA consomment 25% de l’énergie planétaire !

Autres concepts importants à connaître en géopolitique en prépa ECG

Selon Patrick LE GALES, la gouvernance est le « processus d’élaboration, de légitimation, de mise en place et de contrôle des règles internationales communes » →qui dirige ?

Principe des « Hedge Funds » : fonds privé utile dans les plans de sauvetage de crises financières ou €

Fonds souverains : fonds public (étatique) : CIC et CITIC ont volé à la rescousse des européens lors de la crise, surtout au MO et en Asie qui proviennent de l’exploitation d’hydrocarbures ou des excédents commerciaux : Qatar, Kuweit Investment Authority.

Bertrand BADIE aimerait un intermédiaire entre le G20 et une « diplomatie de club/de la connivence », gouvernance excluante et le multilatéralisme de l’ONU, à la recherche d’une 3ème voie…

Multilatéralisme pour Franck PETITEVILLE : « ensemble de normes et règles visant à établir un ordre international coopératif régissant les interdépendances entre états ».

Unilatéralisme : attitude qui consiste, pour une puissance, à décider d’une action sans tenir compte du point de vue des autres, ni des instances internationales.

Interventionnisme : politique d’intervention d’une nation dans les affaires internationales, dans un conflit où elle n’est pas impliquée.

Isolationnisme : tendance de la politique étrangère d’un Etat pour une intervention minimale dans les affaires du monde.

DIT : Division Internationale du Travail : répartition mondiale des productions en fonction des avantages comparatifs de chaque espace producteur : spécialisation dans un secteur d’activités avantageux : théorie libérale classique de la « main invisible du marché » et des « avantages comparatifs » (Portugal vend du vin au RU qui vend des draps) défendue par Adam SMITH puis David RICARDO. Problème : inégalités des termes de l’échange. Nord : produits manufacturés à haute valeur ajoutée et Sud : matières premières et produits agricoles.

NDIT : Nouvelle Division Internationale du Travail : provient de l’industrialisation des pays émergents d’Asie et d’Amérique latine, modifie la spécialisation internationale : création de la Triade. Nord : haut de gamme, conception, services et Sud : industrie légère et assemblage.

DIPP : Division Internationale des Processus Productifs : fragmentation des chaînes de valeur qui deviennent globales, phénomène de décomposition de la fabrication des diverses pièces d’un produit dans des pays différents en fonction de leurs avantages comparatifs.

Logique « offshore » : qualifie une activité se déroulant en mer, sans relever de la pêche ni du transport maritime.

Logique « nearshore » : passage d’un modèle où les services informatiques sont localisés dans un pays à bas coût de main d’œuvre à un modèle où la production est réalisée près du client.

 Global Value Chains : chaînes de valeur globales : l’ensemble des étapes déterminant la capacité d’un domaine d’activité stratégique, d’une entreprise ou d’une organisation à obtenir un avantage concurrentiel.

« Hubs and spokes » : réseaux de fret maritime, réseau en étoile autour d’un nœud géographique dans lequel s’effectuent des correspondances.

Thalassopolitique : penser la mer comme un objet politique pour affirmer sa puissance sur la scène internationale pour Julien FREUND.

« Hydrohégémonie » : lorsqu’un Etat décide de fonder sa puissance sur sa capacité à maitriser l’eau pour Karl WITTFOGEL : exemple d’Israël.

« Leapfrogging » : un pays brûle les étapes du développement en accédant à des technologies de pointe sans forcément passer par la génération technologique précédente, souvent plus chère et moins efficace (ex la moitié des Africains possèdent un téléphone portable, développement du LI-FI en Côte d’Ivoire).

« Asymétrie de l’information » dénoncée par Julian ASSANGE (WikiLeaks) entre les pouvoirs publics et les citoyens et que cette asymétrie profite essentiellement aux états.

Globalisation financière : la « révolution des 3D » selon Henri BOURGUINAT dans Les Vertiges de la finance internationale : dérèglementation (suppression des entraves à la circulation des capitaux), décloisonnement (marchés monétaires et financiers de nouveau réunis), désintermédiation (banques ne sont plus les intermédiaires privilégiées, perdent de l’importance au profit des marchés financiers).

« Low-cost » : modèle commercial de vente de produits et services à bas coût : émergence en France dans les années 50 avec Tati, Leclerc, puis enseignes étrangères : Leader Price, Aldi, Lidl, Ikea, Ryanair, Dacia…

Dans L’Obsession des frontières, Michel FOUCHER définit une frontière comme une « discontinuité géopolitique à fonction de marquage réel, symbolique ou imaginaire ».

D’où le concept de « sans-frontiérisme » de Régis DEBRAY dans L’Eloge des frontières.

« Smart border » : nouvelles frontières high-tech européennes face aux flux migratoires : immigrants illégaux et terroristes (Eurosur).

« Frontières charnières » (frontières qui divisent, excluent) se révèlent parfois être des « frontières barrières » (unissent) pour Jean GOTTMAN.

Te voilà désormais davantage au fait des principales notions géopolitiques à maîtriser pour les concours ! Si tu souhaites approfondir tes connaissances sur ces notions centrales en prépa ECG, n’hésite pas à lire notre article qui traite d’autres mots de géopolitique.